
Ce que vous voyez plus haut, la partition que je décortique depuis quelque part en novembre.
Pièce composée par Felix Mendelssohn, op. 67 #2. Sous-titrée « Lost Illusions ».
Il semblerait que ce titre soit celui d’une oeuvre de sa soeur Fanny. Toute une histoire que celle de la famille Mendelssohn.
Je vous mets le lien vers un article de Madame Lisa Pascaretti qui nous explique très bien la situation.
Mon engouement pour la musique de monsieur Felix s’est développé il y a quelques années en découvrant ces « Romances sans paroles ». Oeuvres pour piano que j’écoute régulièrement.
J’apprécie surtout les thèmes, on dit que les mots perdent toute utilité dans sa musique.
Mais surtout celui dans l’opus 67 #2 qui me hante, me poursuit, me subjuge complètement. Et encore plus quand jouée par la pianiste Yuja Wang. Elle aussi semble transportée par la mélodie mais croirais-je aussi par tout ce qui l’enrobe.
À force d’écouter cette pièce, elle s’est forgé un chemin dans ma mémoire auditive. Tout un atout quand il faut apprendre la partition.
Je ne pourrai jamais la jouer comme mme Yuja. Mais le plaisir que m’apporte l’apprenrissage de cette pièce conforte l’idée que j’ai de ma retraite: de la musique, encore de la musique et des mots comme ceux-ci que j’aime partager avec vous.
Le moment où vous allez m’entendre jouer la première page de ce morceau est loin d’être fixé. Je vais demander à St-Glin-Glin de m’éclairer.










































































































